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16 septembre 2010

Franţa va continua să desfinteze taberele ilegale

CE TRANSMITE BBC?

Preşedintele Frantei, Nicolas Sarkozy, a avut schimburi dure de replici cu preşedintele Comisiei Europene în privinţa expulzării de către Franţa a emigranţilor romi. Nicolas Sarkozy a confirmat că el şi Jose Manuel Barroso s-au contrazis în această privinţă la prânzul summitului Uniunii Europene din Bruxelles. Acesta a declarat că toţi liderii de la întâlnire au susţinut părerea sa că oficialul superior al UE a depăşit măsura în cursul acestei săptămâni, când a numit expulzările o ruşine nemaivăzută de la Al Doilea Război Mondial. "Toţi şefii de stat şi de guvern europeni au fost şocaţi de comentariile făcute de vicepreşedintele Comisiei. Nu vreau o ceartă pe această temă. Doamna Reding şi-a cerut scuze pentru comentariile injurioase pe care le-a făcut, dar toţi şefii de stat, fără excepţie, au indicat că este profund şocant ca cineva să se adreseze în acest fel cu referire la un trecut care i-a rănit pe toţi compatrioţii noştri" a declarat preşedintele francez. Nicolas Sarkozy a afirmat de asemenea că Franţa va continua să distrugă taberele ilegale. (BBC,/17.09 ora:19,00)

CE TRANSMITE RRA?

(SURSA CITATA: DAILY MAIL DIN MREA BRITNIE CU 2 CORESPONDENTI RRA LA BRUXELLES)

Franţa va continua să desfiinţeze toate taberele ilegale, indiferent cine le ocupă - a avertizat preşedintele Nicolas Sarkozy la finalul summitului de astăzi al Consiliului European, dominat de polemica referitoare la repatrierea romilor. Sarkozy a mai spus că ţara sa a fost "profund şocată" de declaraţiile comisarului european pentru justiţie, Viviane Reding, care a făcut o paralelă între deportările din timpul celui de-al doilea război mondial şi expulzările de romi din prezent.
Ziarul britanic "Daily Mail" scrie în ediţia online că Nicolas Sarkozy a avut la Bruxelles şi o întâlnire scurtă cu Traian Băsescu. (RRA / 16.09 ora:19:00)BRUXELLES,

16 sept 2010

(AFP/16/09/2010 18:19) - La France va continuer a démanteler "tous les camps illégaux" quelle que soit l'origine de ceux qui les occupent, a affirmé jeudi son président Nicolas Sarkozy, a l'issue d'une sommet de l'UE dominé par la polémique sur le renvoi des Roms.

(AFP/16/09/2010 18:10) - Le sommet des dirigeants de l'UE jeudi a Bruxelles a tourné au clash entre Paris et Bruxelles avec un échange qualifié de "tres violent" entre le président français Nicolas Sarkozy et celui de la Commission José Manuel Barroso sur les renvois controversés de Roms.
"Il y a eu un échange tres violent entre le président de la Commission et le président français" sur la question des Roms, a déclaré aux journalistes le Premier ministre bulgare, Boyko Borissov, au cours d'une pause dans les discussions.
Une source européenne proche des discussions a confirmé a l'AFP l'existence du vif échange, intervenu pendant un déjeuner de travail.
Face aux critiques de M. Sarkozy contre Bruxelles, "José Manuel Barroso a rappelé, et vigoureusement défendu l'institution et le rôle de la Commission", a dit cette source.
Il a indiqué qu'il ne voulait "pas se laisser distraire de son travail" par des querelles, a-t-elle ajouté.
Lors d'une session de travail avant le déjeuner, le chef de l'Etat français a aussi pris la parole devant tous les dirigeants et M. Barroso pour lancer, selon une autre source diplomatique: "la Commission a blessé la France", en comparant les renvois de Roms roumains et bulgares aux déportations de la Seconde Guerre mondiale.
Depuis le début de la semaine le torchon brule entre Paris et Bruxelles, avec une crise d'une intensité inédite en Europe sur la question des Roms.
La Commission européenne a menacé Paris de poursuite en justice pour non-respect de la législation européenne sur la liberté de circulation des citoyens européens a propos des conditions de renvois, qu'elle soupçonne d'etre "discriminatoires".
La commissaire a la Justice, la Luxembourgeoise Viviane Reding, a employé des mots virulents a l'encontre de la France, dressant un parallele avec les déportations de la Seconde Guerre mondiale.
Cette comparaison a provoqué le courroux des responsables français, qui ont obtenu que Mme Reding exprime des "regrets" mercredi soir juste avant le sommet.
Au moins publiquement, seule l'Italie de Silvio Berlusconi a affiché son soutien inconditionnel a la politique française a l'égard des Roms, qui provoque depuis plusieurs jours une grave crise en Europe.
La plupart des autres dirigeants, dont Angela Merkel, ont peu gouté la comparaison de Mme Reding. Mais sur le fond, la chanceliere allemande a rappelé que la Commission était dans son rôle quand elle demandait aux Etats de respecter scrupuleusement les traités européens.
Le Premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, n'a pu cacher son irritation face a Nicolas Sarkozy en échangeant avec lui une poignée de main plutôt glaciale. La veille le chef de l'Etat français avait conseillé a Mme Reding d'accueillir des Roms dans son pays.
Le chancelier autrichien Werner Faymann a critiqué quant a lui ouvertement le commentaire de Paris sur la maniere de traiter un "grand Etat", au sujet de la polémique sur les Roms, soulignant que tous les pays membres de l'UE devaient etre traités de la meme façon, quelle que soit leur taille.
En ouverture du sommet, les dirigeants européens avaient d'abord cherché a jouer l'apaisement. Mais les efforts se sont révélés vains des que la question des Roms a été abordée.
Un projet de déclaration commune sur la nécessité de mieux intégrer les Roms a ainsi été un temps envisagé jeudi, selon des diplomates, avant d'etre abandonné.
Les autorités françaises n'ont eu de cesse de répéter que les "reconduites" de citoyens roumains et bulgares vers leur pays d'origine respectaient les lois européennes.
Le clash entre Paris et Bruxelles a éclipsé d'autres sujets de la réunion: un vaste accord de libre-échange entre l'UE et la Corée du Sud, et l'intention affichée de l'Europe de réduire ses droits de douane en faveur du Pakistan tres éprouvé par les récentes inondations.

(AFP/16/09/2010 17:34) - Le sommet de l'UE a été jeudi le théâtre d'un échange qualifié de "tres violent" entre le président français Nicolas Sarkozy et celui de la Commission européenne José Manuel Barroso sur les renvois controversés de Roms effectués par Paris.
"Il y a eu un échange tres violent entre le président de la Commission et le président français" sur la question des Roms, a indiqué aux journalistes le Premier ministre bulgare, Boyko Borissov.
Une source européenne proche des discussions a confirmé a l'AFP l'existence du clash, intervenu lors d'un déjeuner de travail. Face aux critiques de M. Sarkozy contre Bruxelles, "José Manuel Barroso a rappelé, et vigoureusement défendu l'institution et le rôle de la Commission", a dit cette source.
Il a indiqué qu'il voulait "pas se laisser distraire de son travail" par des querelles, a-t-elle ajouté.
Lors d'une session de travail avant le déjeuner, le chef de l'Etat français a aussi pris la parole devant tous les dirigeants et M. Barroso pour lancer, selon une autre source diplomatique: "la Commission a blessé la France", en comparant les renvois de Roms roumains et bulgares aux déportations de la Deuxieme guerre mondiale.
Depuis le début de la semaine le torchon brule entre Paris et Bruxelles, avec une crise d'une intensité inédite en Europe sur la question des Roms.
La Commission européenne a menacé Paris de poursuite en justice pour non respect de la législation européenne sur la liberté de circulation des citoyens européens a propos des conditions de renvois, qu'elle soupçonne d'etre "discriminatoires".
En cause: la dissimulation par Paris d'une circulaire administrative ciblant expressément les Roms pour les renvois, contrairement a des assurances données préalablement par la France
La commissaire a la Justice, Viviane Reding, a employé des mots tres durs a l'encontre de la France, dressant un parallele avec les déportations de la Seconde guerre mondiale.
Cette comparaison a provoqué l'ire des responsables français, qui ont obtenu que Mme Reding exprime des "regrets" mercredi soir juste avant le sommet.
Les responsables européens ont d'abord cherché a jouer l'apaisement pour ne pas donner l'image de leurs divergences lors du sommet. Un projet de déclaration commune sur la nécessité de mieux intégrer les Roms a été un temps envisagé jeudi, selon des diplomates, avant d'etre abandonné.
"Personne n'en veut", souligne un de ces diplomates.
Le Premier ministre bulgare a confirmé que "rien n'a été décidé" au cours du sommet sur la question des Roms et que les dirigeants européens chercheront "lors d'un prochain sommet" a mettre au point "une stratégie sur le long terme pour trouver une solution a ce probleme".

(AFP16/09/2010 17:00/) - Le président français Nicolas Sarkozy et celui de la Commission européenne José Manuel Barroso ont eu jeudi lors du sommet européen un "échange tres violent" au sujet des renvois de Roms, a indiqué aux journaliste le Premier ministre bulgare, Boyko Borissov.

Sept 16/14:23 (Reuters) - The European Union agreed on Thursday to sign a free-trade pact with South Korea and hoped to
make progress towards an agreement on how to tighten budget discipline to prevent a new financial crisis. Leaders of the 27-country bloc also signalled they would use a one-day summit in Brussels to try to ease tension between
Paris and the executive European Commission over France's deportation of 8,000 Roma migrants to Romania and Bulgaria.

TENSIONS OVER ROMA DEPORTATIONS
EU envoys said the leaders were also likely to discuss the
Roma deportations as part of a French crackdown on crime. Theysaid French President Nicolas Sarkozy intended to raise the issue and had talks with Van Rompuy before the summit started.
"I think everything will be sorted out today," said Belgian Prime Minister Yves Leterme. France's European affairs minister said on Wednesday Reding had overstepped the mark by accusing France of breaking EU law
on free movement of people. Hoping to ease the tensions, Reding told reporters on Wednesday she had not intended any comparison between Nazi Germany and the French government.

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